Le malade imaginiare à Wattrelos |
Le Malade imaginaire à Wattrelos
Jolie représentation que celle que la troupe a livré à Wattrelos, dans la banlieue lilloise. Il faut dire que les acteurs étaient particulièrement motivés et investis. Nous avons eu quelques accidents mais concentrés, les acteurs n'ont rien laissé paraître : chute de Nolwenn lors d'une sortie, en coulisse, qui, comme une pro, est remontée sur scène comme si de rien était (malgré sa douleur, sa peur et ses pleurs) et surtout Bruno, notre notaire véreux (dans la pièce !) qui a joué avec un pied ayant reçu une lourde table, provoquant un hématome et la section d'une veine ! Malgré la douleur, il a joué son rôle à la perfection. En tant que metteur en scène, je tiens à remercier vraiment très chaleureusement la troupe de son intense implication dans ce projet qui a largement comblé mes attentes et celle, je l'espère, du public. Je remercie aussi Sandrine Givry qui a en partie co-dirigé la pièce et qui a été d'une patience admirable lors de la réalisation du film projeté dans le cours de la pièce.
En effet, comme un de nos acteurs, Clément, n'était plus disponible en raison de la poursuite de ses études dans la lointaine Argentine, j'ai du reprendre son rôle au pied levé et il nous a fallu refaire le film qui illustre la rencontre.
Et l'affiche a été modifié en conséquence.
Quelques photos de l'événement. D'abord, "l'avant" :
Valérie, Franck et Sandrine prennent possession des lieux. On reconnait ensuite Jean-Maxence, Nolwenn, Carole et Nathalie.
On monte le décor, on prépare la salle.
René étudie sa position préférée :
On fait une petite allemande pour se familiariser avec la taille de la scène, plus petite que notre habituelle salle des Viviers à Anzin (un petit lutin prénommé Alix se glisse parfois sur scène mais cela ne perturbe pas la concentration des comédiens).
Une fois le filage terminé, il faut se préparer et attendre. On s'habille, on se maquille, on dort, on fume, on papote, on emmerde les autres...
L'assistance technique
Et à la fin de la représentation : les applaudissements ! Et surtout la satisfaction d'avoir très bien joué (et m... pour la modestie).
Laurent Larretgère